Le 7 Mars 2006, vers 15H00, à l'occasion de l'entrevue de 6 élus de Haute-Garonne auprès du Ministre des Affaires Etrangères et ancien Maire de Toulouse Philippe Douste-Blazy puis auprès du Ministre de la Justice Pascal Clément Place Vendôme, le député Gérard Bapt, à sa sortie de réunion a affirmé devant caméra que M. Fabius était bien arrivé à Toulouse le matin du 21 Septembre 2001 pour assister à un congrès et que son avion avait atterri quelques minutes après l'explosion. M. Gérard Bapt, membre des plus influents du Grand Orient de France à Toulouse, s'est souvenu également d'un détail que des proches de M. Fabius lui avait indiqué concernant les masques à oxygène qui serait tombé à cause des fumées de la catastrophe que les passagers pouvaient voir depuis l'appareil.
Le 15 Mars 2006, vers 11H00, l'attachée Parlementaire de M. Fabius, Florence Ribard, en présence de trois témoins qui avait obtenu un rendez-vous avec elle à un des cafés proches de l'Assemblée Nationale a confirmé que, selon elle, M. Laurent Fabius est bien parvenu à Toulouse à bord d'un avion ministériel (ex-GLAM) et qu'il aurait atterri à la base militaire de Francazal et non Blagnac juste après l'explosion. Florence Ribard a confirmé la version des masques à oxygène de Gérard Bapt. Ce détail semble bien émané de M. Laurent Fabius lui-même.

A la tête d'un tel Ministère en 2001, très concerné par les risques industriels, l'absence de la moindre parole de M. Fabius dans ce rapport parlementaire est déjà étonnante. Mais en tant que témoin des premières minutes de la catastrophe vues du ciel toulousain, il est très choquant de voir que la Commission d'enquête parlementaire d'AZF dirigée par François Loos, Ministre de l'Industrie du gouvernement de Dominique De Villepin, n'ait pas voulu l'interroger ou que M. Fabius n'ait pas estimé nécessaire l'apport de son témoignage ou celui des personnes à bord de son avion.
M. Guigou, mari de la Ministre de la Justice Elisabeth Guigou, "était arrivé", selon M. Malvy. Est-il lui aussi venu de Paris quelques instants avant et avait-il pu rejoindre rapidement le pôle de Labège pour cette conférence ? A-t-il voyagé avec M. Fabius depuis Paris ou a-t-il pris un autre avion depuis une autre ville ? Était-il déjà à Toulouse, venait-il d'ailleurs ? Pourquoi M. Malvy, juste avant l'explosion attendait-il déjà M. Fabius ? Savait-il déjà que M. Fabius était sur le point d'arriver à Labège ? Si M. Fabius est arrivé plus d'un quart d'heure après l'explosion, s'il avait encore à rejoindre Labège depuis son lieu d'atterrissage, M. Malvy avait encore plus de 30 minutes minimum avant d'accueillir M. Fabius à Labège-Diagora.
Quel délai contient donc cette phrase de M. Malvy qui sous-entend comme imminente l'arrivée de M. Fabius ? Cette phrase de M. Malvy mérite franchement des vérifications...!

Pour quelles raisons, une telle discrétion de la part de M. Fabius pour témoigner sur les événements d'AZF ?
Le Maire de Toulouse, Philippe Douste-Blazy, était, au moment de l'explosion, à Toulouse en train de téléphoner à Paris. Il est venu, en toute urgence après la catastrophe sur le site d'AZF et a été filmé avec son masque à gaz sur la figure. Il a accueilli Lionel Jospin à son arrivée par avion vers 13H00. Laurent Fabius est donc le seul personnage du Gouvernement à avoir vécu les minutes de la catastrophe dans une position aérienne exceptionnelle.
Pourquoi être aussi discret sur cet événement ?
Donnait-il déjà le futur ton à l'enquête qui méprisera à maintes reprises les témoignages et les témoins ?!

Si M. Fabius, comme il l'affirme, a traversé avec son avion les fumées de la catastrophe, sachant que l'origine de cette explosion était encore à ce moment complètement inconnue, cela signifie que :

- soit l'avion n'a pas pu contourner les fumées à l'avance et donc que M. Fabius est arrivé très peu de temps après l'explosion (<10 minutes).
- soit l'avion n'a pas pu entrer en communication aérienne suffisamment tôt pour informer des dangers.
- soit que dans l'avion même, on savait de quel sorte d'accident il s'agissait et on savait les risques inexistants au bout de 15 minutes.

Dans ce premier cas, le pilote gendarme de l'hélicoptère Thierry Chapelier qui a survolé officiellement le site entre 10H25 et 10H48 et qui affirme à la justice n'avoir vu aucun aéronef dans le ciel, si ce n'est un avion de Blagnac qui devait décoller à tout prix à 10H35, malgré la catastrophe a clairement menti. Selon la trajectoire, ce pilote de la gendarmerie est censé être revenu sur Francazal vers 10H45... il n'a jamais fait mention de l'arrivée de M. Fabius dans cette même période. Il n'a jamais été interrogé non plus sur ce détail.

Dans le deuxième cas, si l'avion de M. Fabius n'a pas pu être prévenu longtemps à l'avance... ce qui serait étonnant, on imagine mal que pour un problème radio toulousain aussi exceptionnel l'avion prenne le risque de poursuivre sa course vers Toulouse avec de telle personnalité à l'intérieur sans que l'on connaisse encore l'origine de la catastrophe, avec en plus en tête les mesures de sécurité appliquées aux compagnies aérienne depuis 10 jours suite aux événement de Manhattan.
De même, on imagine mal que devant un panache de fumées aussi sombre et très localisé depuis un point au sol, l'avion n'ait pas pu se détourner à vue, suffisamment loin pour éviter la chute des masques à oxygène et atterrir en toute sécurité en faisant un grand détour à l'opposé des fumées avant d'atteindre la base de Francazal au Sud de Toulouse.

Ces informations concernant les masques seraient peut-être exactes mais elles pourraient correspondre en fait à une traversée avant l'explosion. En effet, de nombreux toulousains ont vu dès 9H00-9H30 des nuages sombres anormaux au-dessus du site industriel. De nombreuses dépositions mentionnent ces inquiétudes du changement de l'atmosphère avant l'explosion. Le temps semblait localement devenir orageux, alors que la météorologie et l'atmosphère n'indiquaient aucune arrivée de nuages de ce type. Les éclairs verticaux aperçus par les témoins juste avant et juste après l'explosion ont d'ailleurs été pris dans les premières secondes pour des éclairs d'orage. Les témoins ont parfois compté les secondes justement à cause de cet impression locale de temps orageux. Quelques secondes après l'explosion, le ciel ne présentait plus du tout ce type de temps orageux.

Le changement volontaire de la composition de l'atmosphère avant l'heure exacte des essais électromagnétiques, à partir d'aérosols ou éventuellement directement avec la création d'un champ électromagnétique intense calibré pour ce type d'application, aurait pu influencer les systèmes de détection de gaz que les avions ministériels possèdent comme tout avion militaire très bien équipé. Un tel passage sur la partie nord de ces nuages deviendrait alors le déclencheur d'une alerte qui permet d'affirmer à des témoins indirects que les masques sont tombés automatiquement à bord de l'avion.
La surface des nuages sombres vus par les témoins était beaucoup plus conséquente que le volume des fumées issues d'AZF détruit.
Si une dégradation volontaire de l'atmosphère à partir d'une certaine altitude a été programmée depuis le sol pour faciliter la pénétration directive des faisceaux électromagnétiques, même sans que cela soit visible, l'assèchement ou l'ionisation de l'atmosphère a pu, à grande distance, perturber les systèmes de mesures, même dans le couloir aérien d'arrivée sur Blagnac.

Cette histoire de fumées aperçues peut être aussi une pure invention de la part de M. Fabius pour donner crédit à une arrivée fictive au-dessus de Toulouse. Aucune personne de l'avion de M. Fabius n'a pour l'instant donné sa version et son témoignage. La justice a interrogé le pilote de la Gendarmerie, celui de l'hélicoptère d'EDF-RTE arrivé vers midi mais pas ceux qui ont vu depuis le ciel le grand panache d'AZF...! M. Fabius n'a pourtant pas l'impunité judiciaire accordée au Chef de L'Etat et pouvait sans aucun soucis être questionné comme témoin !


Des employés de Labège-Diagora, présents lors de ce congrès, ont confirmé que, quelques minutes avant l'explosion, Martin Malvy avait reçu par la radio de la préfecture l'information selon laquelle l'avion du Ministre était déjà arrivé à l'aéroport de Blagnac et que Martin Malvy s'était posté avec quelques collègues dans le hall d'entrée du bâtiment pour attendre l'arrivée imminente de M. Fabius.
Le congrès avait débuté vers 8H00 du matin et vers 10H00. Martin Malvy a quitté la salle de réunion pour accueillir Laurent Fabius dans le Hall de palais des congrès de Labège-Diagora à son arrivée.
Selon ces employés de Labège-Diagora et selon l'attitude de Martin Malvy, Laurent Fabius était donc bien à Toulouse quelques minutes avant la catastrophe !
On constate donc que Laurent Fabius aurait menti auprès du député Gérard Bapt et de son attachée Parlementaire Florence Ribard qui n'étaient pas avec lui ce jour-là...!

Aucun témoin de toute l'enquête n'a relevé la présence de force policière routière particulière pour le déplacement de M. Fabius de Blagnac à Labège ce jour du 21 Septembre 2001. Pourtant, les témoignages de voitures affolées après l'explosion ne manquent pas... et le seul témoignage de voiture suspecte avant l'explosion a eu lieu 5 minutes avant la catastrophe justement à Labège (?) avec des voitures n'ayant pas de passagers.
Concernant le déplacement de ministres d'Etat qui ne reste jamais inaperçu pour les automobilistes, le témoignage du très faible délai de parcours estimé par Martin Malvy qui, à peine après avoir reçu la confirmation de l'arrivée du Ministre d'Etat à Blagnac, était déjà à attendre ce dernier dans le hall d'accueil de Labège-Diagora, montre qu'il savait que Laurent Fabius ferait, très probablement rapidement en hélicoptère, la navette entre Blagnac et Labège.

Mais Laurent Fabius n'est jamais arrivé à Labège. Le souffle de l'explosion percuta les grandes vitres du Hall en les poussant vers l'intérieur puis en les replaçant à leur position initiale sans qu'elles n'éclatent. Le personnel témoin de la scène fut très impressionné. Les communications préfectorales informèrent très vite Martin Malvy et le staff des personnalités présentes du lieu de la catastrophe. Le personnel de Labège-Diagora sut très vite qu'AZF était touché et que tous les membres de ce congrès ne pourrait manger à l'endroit prévu.
Toujours selon les employés, Martin Malvy quitta rapidement le congrès pour rejoindre le Ministre et d'autres personnalités.

Mais alors, où était Laurent Fabius au moment de l'explosion ? Encore à Blagnac ? En cours de route dans l'hélicoptère ? Le chemin le plus direct entre Blagnac et Labège passant très près du pôle chimique, son hélicoptère n'aurait-il pas été celui que plusieurs témoins ont aperçu à l'heure de la catastrophe, celui que France 3 a enregistré sur sa bande sonore, et peut-être même celui que M6-Toulouse a filmé à 10H26 au-dessus de Bellefontaine ?
Quel était cet hélicoptère ? La société des navettes héliportées n'effectuant plus de manière régulière ces déplacements en 2001 n'était peut-être pas du tout concernée.


Les hélicoptères des Douanes servent parfois aux personnalités du Ministère de tutelle de l'Économie, des Finances et de l'Industrie pour des déplacements professionnels. L'hélicoptère filmé par M6 à 10H26 au-dessus de l'école Bellefontaine, contrairement aux Hélicoptères de la Gendarmerie, d'EDF-RTE, de la Sécurité civile, de la Police, des grandes Compagnies privées connues comme Héli-Union, Hélifrance,... a une couleur de queue compatible avec celle des hélicoptères des Douanes. La bande sombre en bleue, verticale, couvre au moins au tiers toute la hauteur de la queue avec le reste en blanc jusqu'à l'extrémité.


Le rapprochement avec la trajectoire étudiée et reconstituée dans le chapitre  TRAJECTO  n'est pas inutile... En effet on s'aperçoit que cette trajectoire correspondrait bien à une provenance de Blagnac et non de Francazal. Au lieu de rejoindre après la catastrophe le secteur de Labège, on peut soupçonner que la catastrophe a imposé un retour vers Blagnac décidé en cours de route en passant le long de l'avenue Eisenhower et en réalisant un virage serré vers le Sud au-dessus des terrains de Golf pour descendre vers Francazal.
La fin de cette trajectoire sur cette base militaire vers 10H28 pourrait alors coïncider avec la date d'arrivée de l'avion "fictif" de M. Fabius qui aurait rejoint Francazal selon les proches de M. Fabius.

Un témoin automobiliste a été très surpris, en longeant le Technopole de Labège moins de 5 minutes avant l'explosion de voir deux voitures immatriculées en Italie effectuer d'énormes imprudences pour aller au plus vite vers une destination qu'il n'a pu deviner au delà du rond-point suivant le moment où il a été dangereusement dépassé par ces deux voitures. Les chauffeurs de ces voitures, que le témoin m'a confirmé comme seuls au volant, étaient d'une forte corpulence comme certains garde du corps ou des videurs de boîte de nuit. Ils semblaient d'origine Maghrébine. Un des chauffeurs avaient la fenêtre ouverte et n'avait nullement l'intention de cacher son visage. Une fuite à très grande vitesse avant attentat de la part de coupables ou complices informés présentait le risque de se faire arrêter ou d'être flasher. Cette course ultra-rapide, avec prise de risques routiers à un endroit qui n'amène pas vers les autoroutes aurait bien un motif horaire vers une destination proche plutôt qu'autre chose. Être présent, après avoir été informé de son arrivée à Blagnac, à l'arrivée de l'hélicoptère du Ministre sur l'aire d'atterrissage de Labège, pour le récupérer et l'amener à Diagora est une hypothèse qui pourrait expliquer cette précipitation locale.




Voici une vue aérienne du tracé possible d'arrivée de ces voitures dans le cas où elles rejoignaient l'ancien terrain de l'héliport de Labège pour récupérer M. Fabius et son staff juste après son déplacement Blagnac-Labège.
Cette hypothèse pourrait facilement être vérifiée en interrogeant en détail M. Fabius et les personnes qui l'accompagnaient.


Sans la catastrophe d'AZF, Laurent Fabius aurait donc volontairement utilisé une navette en hélicoptère pour assister en cours de route, portières enlevées, à l'occasion d'un léger détour, aux essais ou aux démonstrations de tirs électromagnétiques aériens de 10H18'00, qui se seraient soldé visuellement par un grand éclair silencieux Sud-Nord au-dessus de la SNPE, avant de rejoindre le plus tranquillement du monde le congrès du CNER à Labège. Atterrissant sur l'ancien héliport de Labège, à moins de 500 m du Centre Diagora, il aurait rejoint en voiture le Centre Diagora en quelques secondes sans nécessiter la moindre infrastructure policière notable.
Son hélicoptère, en revanche, s'il a bien été celui filmé à 10H26 par M6-Toulouse, était équipé de tout ce qu'il fallait pour enregistrer au millième de seconde avec une grosse Wescam latérale l'événement ultra-rapide attendu et pour communiquer par radio en direct à grande distance via une antenne relais HF décamétrique fixée par le treuil de l'hélicoptère.

Si cette hypothèse des tirs électromagnétiques aériens, depuis une source énergétique démentielle souterraine sous la colline de Pech David, est vraie, et si aucune mission militaire secrète ne réside derrière tout cela... comment cela s'appelle cette mise en danger de toute une population sans la moindre déclaration officielle, sans la moindre couverture administrative, sans la moindre préparation particulière en cas d'accident ? ... DU TERRORISME...?!
Réaliser de telles expériences que l'on croit maîtriser avec la même impunité qui a été utilisée pour dissimuler à la justice les données sismiques du CEA Militaire, traces les plus précises de cette catastrophe, serait bien un vrai scénario de film...


Le 6 Octobre 1999, à 18H26 heure locale, le réseau national sismique RéNaSS capte les signaux d'un séisme d'origine artificiel de magnitude 4.6 au large de Fécamp !
Depuis le site internet du RéNaSS, voici la liste des arrivées d'ondes sur les sismographes du RéNaSS qui ont permis une estimation de l'épicentre :



Voici la carte Michelin localisant l'épicentre par rapport à la côte :



La revue de la Marine Militaire "Les Cols bleus" indique l'unique explication de ce séisme :


Histoire et actualités du chasseur de mines Pégase

Octobre 1999 : Des explosifs à l'origine d'un mini tremblement de terre en Manche
La terre a tremblé à 18h26 le 6 octobre 1999 à une soixantaine de kilomètres au nord du Havre et à une quinzaine de kilomètres au nord ouest de Dieppe. Le séisme d'une magnitude de 4,4 degrés sur l'échelle de Richter ( dont l'épicentre a été localisé à 50° Nord de latitude et 0.21° Est de longitude) ne serait en fait que la conséquence d'une explosion - à priori "contrôlée"- de munitions datant de la Seconde Guerre mondiale. Une mission confiée au CMT Pégase qui a localisé avec son sonar cinq anciennes épaves, probablement des chalands de débarquement; sur l'un deux les plongeurs ont compté quatre bombes de 200 livres chacune (environ 300 kg). Après évaluation, l'autorisation de tout faire sauter a été donnée. L'explosion a entraîné sans doute l'explosion d'autres bombes qui n'avaient pas été détectées. Le résultat a été beaucoup plus important que prévu et amplifié peut-être par la dureté extrême du fond rocheux entraînant la transmission de très fortes vibrations. A l'heure actuelle on ignore toujours le nombre de bombes qui ont explosé en même temps créant la confusion et faire croire - un moment - à un tremblement de terre de force 4,4. La préfecture maritime de Cherbourg indique qu'elle est en train d'évaluer l'ampleur du problème. (Sources : Paris-Normandie et Cols Bleus)



Que peut-on dire également du séisme artificiel de 4.6 de magnitude au large de Fécamp, le 6 Octobre 1999 à 18H26, à 30 km de la Centrale Nucléaire de Paluel qui alimente un secteur très cher à Laurent Fabius comprenant le pôle chimique du Grand-Quevilly qui comprend un site de Grande Paroisse comme à Toulouse ?
Qui a entendu parlé de cet événement exceptionnel moins de deux ans avant la catastrophe d'AZF ?
Qui a entendu parlé de ce deuxième séisme artificiel en intensité sur le territoire français après celui du dernier essai nucléaire du Pacifique le 27 Janvier 1996 ?

C'est aussi ce même silence absolu pour rendre compte d'un tel événement anormal mettant en cause une énergie équivalente à plus de 6000 T TNT que toutes les centrales nucléaires, dont celles de Paluel et de Penly en Normandie, ont forcément détecté et que le réseau sismique national RéNaSS a répertorié !

Une enquête, selon la revue des "Cols Bleus" qui associe naïvement ce séisme artificiel énorme au dynamitage volontaire de quelques barges des années 40 posées au fond de l'Océan, remplies de quelques 300 kg d'explosifs, a été lancée par la Préfecture Maritime de Cherbourg. Mais cette enquête fut abandonnée, faute d'intérêt et surtout faute de curiosité sur un événement qui n'avait pas causé de dégâts et qui avait réussi à n'éveiller aucune attention particulière !
Le séisme de 3.4 de magnitude d'AZF n'a donc pas éveillé le moindre doute dans l'esprit de M. Fabius très concerné par cette journée du 21 Septembre 2001,... on ne s'inquiète pas pour un séisme de 4.6 de magnitude à quelques kilomètres de deux centrales nucléaires causé grâce à quelques kilos de vieux explosifs, pourquoi chercher l'origine du séisme d'AZF ailleurs qu'au niveau d'un tas d'ammonitrate non confiné près à exploser comme tous les tas du site équivalent de la Grande Paroisse au Grand Quevilly ?
M. Fabius, major à l'École Normale Supérieure de la rue d'Ulm n'a pas sourcillé une seule fois devant des incohérences scientifiques de cette ampleur !
Aucun mot sur cet événement, aucune remarque scientifique pour ce major de l'ENS ? Aucun témoignage pour ce témoin aux premières loges !


Encore un détail étonnant mis en valeur par la déposition du pilote de gendarmerie D3617 dans les chapitres  AERIEN  et  TRAJECTO ...



L'avion n'avait-il pas de passagers ? Devait-il absolument décoller ? N'était-il pas par hasard celui de M. Fabius qui venait d'atterrir vers 10H00 à Blagnac et qui n'avait surtout pas intérêt à rester à Toulouse alors que M. Fabius préparait déjà le scénario d'atterrissage fictif de son avion à Francazal après l'explosion ? Dans ce cas, on comprend mieux qu'un témoin politique important qui avait vu la catastrophe depuis un hélicoptère et qui était en communication sans la moindre interruption avec des autorités pouvait rassurer Blagnac pour le décollage de cet avion de ligne !

Pour l'instant, le cinéma vient bien du fait qu'en France, malgré des média "libres et indépendants", aucun journaliste n'a encore officiellement vérifié et expliqué toutes ces incohérences associées à ce Ministre d'Etat du Gouvernement Jospin. Ces incohérences n'ont, de plus, jamais perturbé la "justice sereine" !
Et pourtant, à ce congrès du 21 Septembre 2001 au centre Labège-Diagora, on attendait bien M. Fabius ce matin là. Il y avait bien un journaliste de Sud-Radio qui animait ce Congrès,... C'était Rémi Loloum. Depuis toutes ces années, ne s'est-il jamais posé la question sur toutes ces coïncidences concernant l'invité de marque de ce 21 Septembre 2001 ? Rémi Loloum ne semble pas avoir eu longtemps ce talent de journaliste puisqu'il est devenu, depuis - oh miracle ! - responsable de la communication du groupe de M. Pierre Fabre.


Le fief de M. Fabius est Grand-Quevilly. Depuis ses tous débuts médiatiques en tant que cavalier d'obstacle venu de Normandie à l'émission TV de Pierre Bellemare "La Tête et les Jambes", jusqu'à ses derniers postes sur l'agglomération Rouannaise, M. Fabius a une véritable base d'appui à Grand-Quevilly au Sud-Ouest de Rouen.
La succession de ses mandats électifs (issue du site Wikipédia) en est la preuve :


21/03/1977 - 13/03/1983 : adjoint au maire du Grand-Quevilly (Seine-Maritime)
14/03/1983 - 19/03/1989 : adjoint au maire du Grand-Quevilly (Seine-Maritime)
20/03/1989 - 18/06/1995 : adjoint au maire du Grand-Quevilly (Seine-Maritime)
19/06/1995 - 18/03/2001 : membre du conseil municipal du Grand-Quevilly (Seine-Maritime)
19/06/1995 - 30/03/2000 : maire du Grand-Quevilly (Seine-Maritime)
31/03/2000 - 18/03/2001 : adjoint au maire du Grand-Quevilly (Seine-Maritime)
18/03/2001 - 06/04/2008 : adjoint au maire du Grand-Quevilly (Seine-Maritime)
07/04/2008 - .......... : adjoint au maire du Grand-Quevilly (Seine-Maritime)

1989 - 2000 : président du SIVOM (Syndicat intercommunal à vocation multiple) de Rouen, puis du district de l'agglomération de Rouen

Depuis 2001 : vice-président de la Communauté d'agglomération de Rouen

01/06/2000 - 01/08/2002 : membre du conseil général de la Seine-Maritime
17/03/1986 - 17/05/1989 : membre du conseil régional de Haute-Normandie
23/03/1992 - 29/06/1995 : membre du conseil régional de Haute-Normandie

03/04/1978 - 22/05/1981 : député de la 4e circonscription de Seine-Maritime
02/07/1981 - 23/07/1981 : député de la 4e circonscription de Seine-Maritime
02/04/1986 - 14/05/1988 : député de la 4e circonscription de Seine-Maritime
06/06/1988 - 01/04/1993 : député de la 4e circonscription de Seine-Maritime
02/04/1993 - 21/04/1997 : député de la 4e circonscription de Seine-Maritime
01/06/1997 - 27/04/2000 : député de la 4e circonscription de Seine-Maritime
01/06/2002 - 18/06/2007 : député de la 4e circonscription de Seine-Maritime
19/06/2007 - .......... : député de la 4e circonscription de Seine-Maritime



Et à Grand-Quevilly, la société Grande Paroisse possède en bord de Seine, une usine équivalente à celle d'AZF-Toulouse avec toute une zone réservée au stockage des ammonitrates.

Le 21 Septembre 2001, au matin, coïncidence temporelle étonnante... le ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie qui vient à Toulouse, est le "patron" politique d'une zone géographique où se trouve une usine soeur d'AZF-Toulouse.



Coïncidence supplémentaire... la société Grande Paroisse, qui a donc un site à Toulouse et aussi à Grand-Quevilly, avec l'accord de la maison mère, le géant Total, nomme comme animateur de la Commission d'Enquête Interne (C.E.I.), avant la nomination de son Président le 10 octobre 2001, le Directeur du site de Grande Paroisse de Grand-Quevilly : Jérôme Berthe. Ce dernier restera quelques jours à la tête de cette commission, le temps de prendre toutes les orientations de départ et de mettre en place le staff principal.




Dans un communiqué bilingue, Jérôme Berthe intervenait encore en Juillet 2002 au sein de cette Commission d'Enquête Interne, alors que l'on annonçait la disparition définitive d'AZF-Toulouse et l'arrêt de production de Phosgène à la SNPE-Toulouse.




On peut se poser la question sur la coïncidence entre la présence prévue ce jour du 21-9-2001 de M. Fabius à côté de Toulouse et le déclenchement de la catastrophe. En effet, une coïncidence ne peut rester qu'une coïncidence et ne nécessite aucunement de mentir, de cacher les détails concernant les minutes autour de l'heure de l'explosion.
Les trajectographies militaires de Francazal, demandées tardivement par la justice sont officiellement détruites et donc ne pourront confirmer les affirmations transmises par les proches de M. Fabius. La justice n'a demandé à la Police des Airs de Blagnac que les trajectographies passant au-dessus d'AZF entre 10H00 et 10H30 !
Pourquoi une telle limitation en date et en surface ?
Pourquoi avoir détruit les versions militaires ?
Toutes ces bizarreries me rappellent la raison pour laquelle j'ai été interloqué la première fois par cette affaire toulousaine que je regardais de loin depuis la côte méditerranéenne de Sète.
En effet, c'est après avoir vu les images de l'hélico filmé par M6-Toulouse datées à 10H26, que j'ai émis une hypothèse des plus banales pour expliquer sa présence : celle d'un hélico de maintenance d'EDF-RTE. J'avais participé pour tester des systèmes GPS embarqués que je développais en sous-traitance en 1998, à une mission aérienne d'EDF-RTE Bourgogne au-dessus des lignes à Haute-Tension. Septembre était un mois normal de maintenance, les principaux étant Mars-Avril et Septembre-Octobre; les hélicos d'EDF-RTE suivaient les lignes HT à leur guise sans plan de vol précis à l'avance et parfois rejoignaient et survolaient des sites industriels connectés à ces réseaux. A l'occasion d'une maintenance, l'hélicoptère d'EDF-Bourgogne était même passé entre deux grandes tours d'une centrale thermique. L'hélico filmé par M6-Toulouse était un AS 350 comme la plupart des hélicos d'EDF-RTE.
Les portières, sur les images, étaient ouvertes, voire enlevées. Cela aussi pouvait arriver à EDF-RTE dans le cas de manoeuvre particulière.
Bref, cette hypothèse était des plus banales et pouvait franchement expliquer les images, sans aucun scandale particulier.
EDF-RTE n'avait officiellement rien dit; son hélico de la région n'est arrivé que vers midi au-dessus d'AZF. Un examen plus fin des images que je n'avais vues que sur une télévision standard était nécessaire.
Le juge Thierry Perriquet, informé par les journalistes en contact avec M. Farreny invité dans l'émission de France 3 qui a diffusé ces images, a souhaité m'auditionner à ce sujet et l'officier Jean-Pierre Bellaval du SRPJ de Toulouse a convenu d'un rendez-vous ultra-rapide chez moi à Sète pour le 30 Juin 2004. J'ai insisté, dans le but d'être efficace, pour qu'il vienne avec des images originales plus fines et détaillées afin de pouvoir regarder de près. Il m'a confirmé par téléphone qu'il venait avec une copie de ce rush récemment remise par M6-Toulouse et les auteurs de ces 3 secondes d'images.
Mais ce matin là, contrairement à ce qu'il m'a annoncé au téléphone, le major Jean-Pierre Bellaval n'est pas venu avec les images promises et a tout de suite affirmé que cet hélicoptère était celui de la Gendarmerie arrivé quelques minutes après l'explosion, le fameux hélicoptère du pilote Thierry Chapelier...! Il m'a laissé alors entendre que m'a déposition ne valait pas la peine car il savait tout de cet hélicoptère de la gendarmerie qui était pour lui, ce jour là, forcément celui filmé par M6-Toulouse.
J'ai tout de même confirmé dans un PV les quelques informations que j'avais sur les hélicos d'EDF-RTE, sur le fait que les portières étaient bien ouvertes, voire même enlevées, sur les images de M6 - ce qui était étonnant pour un hélico de la gendarmerie de Francazal décollant en urgence en sachant le danger des fumées - et sur le fait qu'un objet semblait fixé sur le flanc gauche de l'appareil.
L'officier Jean Pierre Bellaval m'a sidéré avec des inepties en sismologie et notamment la fameuse théorie officielle du "bruit sismique" issu d'une explosion au sol créant un cratère. Je n'imaginais pas que la justice utilisait une telle ânerie pour essayer d'étouffer les centaines de témoignages des deux explosions.
Je compris ce matin là du 30 Juin 2004, que le SRPJ de Toulouse travaillait bien pour dissimuler la vérité et que, sur le terrain, les pressions exercées par les affirmations des Procureurs successifs qui soutenaient des âneries en sismologie prenaient vraiment forme !
Deux raisons anodines et non choquantes pour expliquer la présence de l'AS 350 à l'heure de l'explosion étaient possibles... et pourtant... tout a été fait pour étouffer la moindre de ses explications possibles... Cette coïncidence mène bien sûr à l'hypothèse d'un événement attendu, un événement qui impliquait la présence d'un hélicoptère d'observation ou de mesures, un événement qui a pris une très mauvaise tournure et que l'on veut éviter d'approcher par le moindre questionnement des personnes concernées !

... A quand l'audition de M. Laurent Fabius ?



Ne nous ferait-il pas devenir chèvres...?